
Gigot d’agneau au four façon « grand classique » : peau dorée, chair juteuse et parfum d’ail et d’herbes qui embaume la cuisine. Cette méthode pas à pas assure une cuisson fiable (saisir puis rôtir), un jus savoureux et des tranches rosées bien moelleuses. Idéal pour 6 convives, ce rôti de fête se prépare avec très peu d’ingrédients et quelques repères simples (temps au kilo, température à cœur, repos). Vous trouverez ci-dessous toutes les astuces de chef pour réussir du premier coup, les variantes (Provençale, basse température, aux épices), les erreurs courantes à éviter, la meilleure façon de trancher et de servir, ainsi que des idées d’accompagnements et de réutilisation des restes.

La valeur nutritionnelle varie selon la taille du gigot, la proportion de gras retirée, la cuisson (une partie de la graisse fond et s’écoule dans le plat) et les accompagnements. Pour une assiette équilibrée, associez le gigot à une belle portion de légumes verts et à un féculent raisonnable (pommes de terre rôties, boulgour) ; une sauce légère (jus dégraissé) remplace avantageusement les sauces crémeuses.
Ce gigot d’agneau au four incarne la cuisine de partage : une liste courte d’ingrédients, une méthode claire et des repères précis pour un résultat généreux. La saisie initiale sculpte une croûte dorée irrésistible, la cuisson modérée respecte la tendreté et le repos final rend la tranche juteuse. Qu’il soit servi rosé avec un jus corsé et des haricots verts, ou entouré de pommes de terre rôties et de carottes glacées, il fait l’unanimité. En variant herbes et aromates (Provence, épices douces), en adaptant la température à cœur à vos goûts et en soignant la découpe, vous signez un plat de fête fiable, élégant et intensément parfumé — parfait du déjeuner dominical au dîner de célébration. Les restes se prêtent à mille réemplois gourmands : un parmentier fondant, des sandwiches à la moutarde et aux herbes, des pâtes au jus réduit… Bref, une recette pilier qui mérite sa place dans votre carnet, prête à être refaite toute l’année.
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Après 15 min à 220 °C, comptez environ 45 min pour 1,5 kg puis +15 min par 500 g : un gigot de 2 kg demandera ~60 min au total, à affiner avec la sonde.
Oui. Saisir 15 min à 220 °C, puis terminer à 150 °C jusqu’à la température cible : la texture est particulièrement fondante, à condition de ne pas dépasser la température à cœur visée.
Avec os, le goût est plus marqué et la cuisson plus indulgente. Désossé, la cuisson est un peu plus rapide et la découpe simplifiée, mais l’os ajoute du caractère au jus.
Pas obligatoire. Une marinade courte (30–60 min) à la moutarde, citron, herbes intensifie le parfum et aide la croûte à se former, mais le gigot traditionnel se suffit de sel, poivre, ail, thym, laurier.
ouvrir lâchement de papier aluminium sur la fin de cuisson, baisser de 10–15 °C, et continuer à arroser régulièrement.
Classiques : pommes de terre rôties, haricots verts, flageolets, carottes glacées, semoule au persil. Côté vin, un rouge souple mais structuré (Bordeaux, Côtes-du-Rhône, Rioja) s’accorde à l’ail et aux herbes.